Nous profitons des immenses plages galiciennes.
La recherche d’un bivouac de bord de mer nous permet de découvrir les praias as Catedrais. Il semblerait que ce soit la 2è plus belle plage d’Europe ! En tout cas, à marée basse, des arches de plus de 30m de haut se dévoilent. Spectaculaire !
Après la balade au sommet des falaises, nous reprenons nos vélos pour regagner notre coin : un pré de bord de mer à Barreiros. Le spot est très agréable :
Au loin, nous apercevons des centaines d’oiseaux regroupés sur l’eau. Une flotille de guillemots !
C’est du moins ce que nous allons comprendre le lendemain, à Foz, en découvrant la sculpture qui rend hommage aux guillemots du coin, tués lors d’une marée noire…
À Foz, l’objectif c’est la pêche. Curiosity est garé au bord de l’estuaire… Nous allons pouvoir jouer avec les marées… Surtout que des dizaines de mulets se tortillent devant nous !
Bredouilles, nous nous rabattons sur la visite de la ville…
Et comme toute bonne histoire des Epicurieux, celle-ci se termine dans un resto (malheureusement bien moyen…).
6 commentaires
Monsieur BED · 2 novembre 2017 à 20 h 09 min
Je suis déçu, mais déçu par les talents de pêcheurs des Bora-Bora ! Vous n’êtes pas encore prêts pour survivre sur une île déserte, alors qu’il y avait du poisson à foison !
Les Epicurieux · 8 novembre 2017 à 7 h 15 min
Du poisson trop bien nourri par les égouts. Des poissons d’île déserte mordraient, eux !
Guillaume · 2 novembre 2017 à 18 h 11 min
Alors la peche aux mulets? Bisous les epicurieux!
Les Epicurieux · 8 novembre 2017 à 7 h 13 min
Quand on a vu ce qui sortait de la bouche d’égout devant laquelle ils s’accumulent, on a arrêté…😝
pom · 2 novembre 2017 à 16 h 52 min
Eh ! vous vous êtes gourés, c’est à Etretat que vous êtes !!
Bien joli en tous cas ce coin. Le camping sauvage est autorisé n’importe où en Espagne ?
Bonne continuation
Les Epicurieux · 8 novembre 2017 à 7 h 18 min
C’est vrai qu’il y avait un petit air breton. Et plus encore irlandais.
On se met où on veut si ce n’est pas interdit. Mais nous avons quand même dû fouiller un peu pour trouver des coins sauvages. La côte est très occupée au moins jusqu’ aux Asturies.