Notre road-trip à travers la Grèce se poursuit. Vous allez dire que ça devient une habitude, mais on a encore changé de programme🙄… On vous raconte tout ça !
Sommaire :
Pourquoi on ne va pas en Crète ?
Certains vont être déçus… Suite au précédent article sur la Grèce (ici), vous étiez nombreux à attendre cette partie du voyage. Nous aussi d’ailleurs, mais les contre-ordres se sont accumulés : météo peu favorable, mer agitée🤢, prix du carburant🤑, vacances scolaires qui se rapprochent (ça implique qu’il va y avoir du monde), colis à retirer pour un super partenariat avec Ecoflow (on vous en parle en vidéo ici 🎁)… le doute commence à s’installer dans nos esprits🤔. Et puis on a rencontré des voyageurs qui venaient de passer 3 mois en Turquie et qui ont adoré…
Au canal de Corinthe on est donc encore en train d’hésiter : on descend au Pirée pour embarquer ou on prend la route du nord ?
Et là, le destin frappe à notre porte👋. Y’a pas un chat dans le coin (on a découvert que le canal, qui s’était écroulé il y a déjà longtemps, est encore en travaux, circulation coupée). Tout est donc mort. Une voiture se gare devant nous et un gars vient nous voir. C’est un Français qui vit et travaille depuis des années en Turquie. Un capitaine de bateau très sympa ! Du coup, on se dit que c’est un signe. On laisse tomber la Crète et on passera plus de temps en Turquie ! C’est parti pour la route du nord !
On traverse la Grèce : du canal de Corinthe aux rives de la mer Égée.
Pour rejoindre la côte au nord d’Athènes, il y a pas mal de route. Il faut traverser le massif du Pinde (avec le Mont Parnasse🗻) via des chemins choisis par le GPS… c’est parfois aléatoire… On quitte l’axe principal pour une jolie petite route de montagne. C’est charmant mais bien dégradé par les pluies d’hiver 😨. Quand nous finissons par retrouver la grande route, on voit les chasse-neige et les camions de sel partout prêts à intervenir. Ça sent la tempête de neige❄❄❄…
Nous, on redescend sur la côte🏖, ça devrait donc aller. Mais finalement nous sommes quand même malmenés par la tempête 😧. Pas de neige pour nous, mais une nuit de pluie et de vent violent. Comme si on essayait de dormir dans la machine à laver, vous imaginez le truc !?… Et vu qu’il fait 6° ici, en altitude les déneigeurs ont dû bien travailler !
Ceci dit ce coin est vraiment sympa. Une plage de galets juste pour nous et nos deux chiens adoptifs du moment. À première vue deux cabots plutôt handicapés. L’une marche sur trois pattes et l’autre doit avoir un problème de truffe ou de palais et pousse des grognements de sanglier. On les surnomme donc La Boiteuse et Le Sanglier. Mais, comme souvent, les apparences sont trompeuses. Nos braves toutous nous accompagnent dans une balade de 5km et on comprend vite que nous sommes escortés par les caïds du quartier. Les autres chiens font profil bas… Alors que notre Sanglier semble au bout de sa vie (il est grassouillet pépère…) on le voit même piquer un sprint pour chasser un chien que nous n’avions pas encore aperçu… Finalement, on va plutôt les surnommer « Le Gang », ça leur ira mieux 😂🐕🐕.
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😤💩🤬 Galère 🤬💩😤 :
Comment on s’est retrouvés coincés au milieu d’une forêt d’oliviers. Il est temps d’être honnêtes. On vient de décrire une situation idyllique, mais pour arriver là ça n’a pas été de tout repos. On venait de se taper la longue traversée de la montagne, on en avait marre, on avait faim, et du coup on a perdu notre lucidité.
Quand le GPS nous a dit de tourner à droite, on l’a écouté alors qu’on entrait très clairement sur une piste. On en a vu d’autres des pistes ! Alors on y va gaiement… Très vite, pourtant, il devient évident que ce n’est pas une piste qui va à la plage mais le chemin d’entretien d’un champ d’oliviers. Mais on persiste… Va savoir pourquoi… Jusqu’au moment où vraiment ce n’est plus possible, on frotte de partout, il y a des trous, le chemin se réduit…
Oui mais allez faire demi tour dans un champ d’oliviers avec un véhicule de 7,40 m… Pas si facile… On continue donc😱. Et pour finir on entreprend la manœuvre dans une espèce de carrefour en fourche…
Conclusions de l’expérience : les branches d’olivier sont assez souples, elles se plient bien et ne rayent pas la peinture (au bruit, on en doutait un peu😬).
On ressort du chemin, on reprend la route, on tourne 2km plus loin et une magnifique petite route nous conduit tout droit à la plage…
Moralité : en Grèce, ne JAMAIS suivre aveuglément le GPS, même (surtout) quand tu as faim (et envie de boire un ouzo sur la plage).
Les coins sauvages des golfes Maliaque et Pagasétique.
La côte de la mer Égée regorge de plages charmantes pour se poser en camping-car. En cette saison c’est vraiment le top. Nous sommes seuls sur les spots !
Fête nationale en Grèce.
Pour l’événement, on est sur une plage que l’on connaît déjà. En 2018 on avait pris nos quartiers devant la bonne petite taverne à proximité des thermopiles (on vous raconte ça ici)… Donc on décide d’aller y manger pour la fête. Les proprios ont changé depuis 1 an et, hors saison, ils ouvrent uniquement pour cette journée. On réserve et on se réjouit de pouvoir goûter au plat typique du 25 mars : la morue, pommes de terre, aïoli. Il y a du monde sur la petite terrasse. On opte comme prévu pour la fameuse morue, plus un calamar grillé et 2 bières au nom inconnu de nous.
Généralement nos escapades au resto finissent dans les bons plans de ce blog… Cette fois on serait presque dans le thème « Galères » : tout est congelé, mal décongelé et mal cuit… Alors en saison c’est peut-être bon ici, mais aujourd’hui c’est notre pire expérience de resto depuis longtemps. En plus les bières sont sans alcool et insipides. Quand ça veut pas, ça veut pas ! Un avantage tout de même, on ne paye que 21 euros.
Petits coins de paradis grecs.
On reprend la route pour un secteur que nous ne connaissons pas. En 2018 on avait pris la direction des Météores. Cette fois, on continue à longer la côte. Et franchement, on tombe sur de super bons spots. Le temps est malheureusement couvert, grisâtre, pluvioteux, mais on fait avec !
La plage de San Giorgio est très fréquentée par les pêcheurs, alors on s’y met aussi ! Mais c’est peine perdue. On reste bredouille. En revanche, en cherchant à voir des 🐬🐬 on a la chance d’apercevoir, au loin, un phoque moine qui est en train de se battre avec un poulpe 🐙 qu’il essaie d’avaler (vous l’apercevrez dans la vidéo, plus bas). Ces phoques sont rares en Méditerranée, mais il y en a une petite colonie autour des îles Sporades qui ne sont pas bien loin.
Ormos Nies est un autre exemple de spot qui nous a emballés ! Des oliviers, des fleurs des champs, une plagette, des ruines, des balades, des chiens sympas, quelques pêcheurs souriants… Il manquait juste le soleil pour que ce soit le paradis.
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Si vous voulez en découvrir plus sur nos bivouacs sauvages de Grèce on vous invite à regarder le vlog !
😅🤪😱 Anecdote, fun fact 😱🤪😅 :
Pourquoi on est les seuls c….. sur la route ? Tout le monde roule sur l’autoroute et nous on se tape la route de services qui la borde… Parfois elle est très bien, parfois elle est toute pourrie. Alors, non, nous ne sommes pas complètement masos ! Il y a une raison à ce choix : l’autoroute grecque est très chère dès que le véhicule mesure plus de 2 m de haut. Pour les voitures c’est à peu près comme en France (et du coup c’est cher pour les Grecs qui ont des salaires moins élevés). Mais pour les camping-cars c’est environ 4x plus cher.
En fait, le système est bizarre. Dans la majorité des cas, il n’y a pas de péages en entrée (ticket) et en sortie (paiement) ; il y a juste des barrières réparties sur le trajet. Du coup, que vous soyez rentrés 100 bornes avant ou juste 5 km plus tôt, vous payez le même prix. On s’est fait avoir 2 fois à payer 5 ou 8 euros pour 5 km, et on a décidé d’arrêter. Dans l’idéal il faudrait étudier où sont les péages, sortir avant et rentrer après. Cela doit être possible mais on ne s’est pas embêtés à le faire, on suit invariablement notre route de services qui passe sans arrêt d’un côté à l’autre de l’autoroute !
Bref, on est les seuls radins du coin !
La Grèce, un peu plus près des dieux…
À l’assaut de l’Olympe
En continuant en direction de Thessalonique, impossible de louper cette énorme montagne qui se dresse devant nous. Nous voici devant l’Olympe, l’inaccessible domaine des Dieux de la mythologie grecque ! Début avril, il est encore bien enneigé. Il faut dire que le sommet, le plus haut de Grèce, culmine à 2917m.
On fait un arrêt au très chouette visitor center, à la sortie de Litochoro. On décide de ne pas continuer la route jusqu’au point de départ des sentiers de rando qui sont de toute façon fermés par la neige. Mais comme on veut tout de même marcher un peu à la rencontre de Zeus, on opte pour la rando des gorges d’Enipéa. En quelques centaines de mètres on peut atteindre le bain de Zeus, un bassin avec une chute d’eau. En continuant par le sentier E4 (celui qui traverse la Grèce du nord au sud) on peut rejoindre le sommet. Nous, on monte jusqu’à 750 m d’altitude, jusqu’à un gros pic derrière lequel le sommet se révèle. Comme on n’a rien rencontré d’autre qu’une salamandre et qu’on a entendu un éboulement quelque part dans la vallée😧, on fait demi tour pour aller manger à Litochoro 😎!
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🎀Bon plan 🍽 : vous vous demandez où manger à Litochoro ? Nous, on a trouvé un bon plan agréable et pas cher ! Ta Mezedakia. On a pu y goûter deux spécialités cuites à la broche. Le Kontosouvli et le Kokoretsi. Si, le premier, est un « simple » porc mariné longuement rôti, le deuxième est plus surprenant : il s’agit d’abats de d’agneau avec du citron, de l’origan et du cumin. Le tout est embroché et entouré d’intestins. ça cuit longtemps. C’est croustillant à l’extérieur, fondant à l’intérieur, très gouteux et délicieux. Si, si ! Croyez nous ! Précisons que c’est une spécialité de la Pâque orthodoxe.
En plus les serveurs sont très sympas et vous offrent un super petit plateau de desserts.
L’étape suivante nous conduit sur le site archéologique de Dion. C’est le plus grand du secteur et on ne le connaît pas. Bon, alors franchement, si vous arrivez en Grèce par le nord, et que c’est le premier site que vous visitez, vous risquez d’être fort déçus🥱😞. Ne vous inquiétez pas, il y a bien mieux ailleurs en termes de vestiges😅… On notera quand même que le cadre, avec l’Olympe, est chouette et que le petit musée présente quelques jolies pièces ! Mais on doit avouer que ce ne sera pas un souvenir impérissable.
Au pied de l’Olympe
On traîne ensuite sur les plages du secteur. Leptokarya, Katerini paralia, Olympique beach… Toutes doivent être assez animées l’été, mais en avril c’est très très calme. On profite des vues changeantes sur l’Olympe et on comprend pourquoi les grecs anciens ont installés Zeus et les autres Dieux au sommet de la montagne. Les nuages s’y accrochent, changent de couleur, se gonflent et s’effilochent au rythme des disputes des dieux. Des vents violents descendent par moment de la montagne, allant jusqu’à pousser le camion. L’instant d’après tout se calme. Par temps d’orage, on imagine bien les éclairs qui doivent jaillir des mains du maître des Dieux ! Tout un spectacle !
C’est aussi ici que nous voyons les premiers dauphins de ce séjour ! Depuis le temps qu’on les surveille : pas trop tôt ! C’est sûr, Poséidon doit être dans le coin 😉 !!!
Parc national d’Axios Delta
Un secteur super joli à l’ouest de Thessalonique. C’est une immense zone de marais qui va des salins d’Aliki (à découvrir ici en vidéo) jusqu’à l’entrée de Thessalonique. Les plages sont malheureusement salies par tous les déchets plastiques des élevages de moules (bidons, filières en plastique, cordages…) C’est dommage, parce que quand on s’installe en dépit du premier sentiment plutôt négatif, on observe plein de vie !!
Thessalonique
On avait prévu de visiter… Mais on tombe le dimanche du Marathon « Alexandre le Grand ». Du coup la circulation est compliquée, impossible de se garer… On se retrouve donc à visiter la ville en camping-car. C’est un peu chaud, mais on s’en sort sans grosses difficultés et on arrive même à voir les principaux monument. Trop forts 😂!
Finalement, on part à la plage !
La Chalcidique de doigt en doigt
Encore une fois, le vent est vraiment violent… On s’installe à l’entrée d’un « premier doigt » de la Chalcidique, au bout d’un mini « canal de Corinthe » (du côté abrité du vent). C’est un coin mignon, mais tout est fermé. La seule activité est liée aux gros bateaux de pêche qui écument la baie toutes les nuits.
Après moultes hésitations, on décide de ne pas aller plus loin dans ce premier doigt qui semble très beau, mais très occupé par les hôtels de luxe. En cette saison tout est mort et on ne peut pas se baigner dans les eaux turquoises glacées, on part donc pour Sithonia (le deuxième doigt).
Les coins sublimes se succèdent. Nous qui aimons la solitude, on est servis. On manque même un peu d’activités en dehors des balades sur la plage, mais on ne peut pas faire l’impasse sur des spots natures comme ça🤩. Alors on bouquine, on se promène avec les chiens locaux, on profite du paysage (à l’intérieur à cause de la bise bien froide qui persiste).
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Parmi les coups de cœur💕, on peut citer Kalamitsi et la ville fantôme de Kriaritsi.
La première est une mignonne station balnéaire avec une eau sublime et une magnifique balade à faire dans les granites en boules. La vue sur le Mont Athos (dans le 3è doigt) est superbe. On vous laisse regarder :
Quant à Kriaritsi, c’est une étonnante ville qui n’a jamais existé. Toutes les infrastructures sont présentes : routes, ponts, chemins, escaliers, bornes électriques, plateformes… mais rien n’a finalement été construit. On se croirait sur une sorte de circuit géant. Un projet dingue qui sera peut-être achevé un jour mais qui pour l’instant est laissé à l’abandon, occupé seulement par quelques bergeries ! Nous on a choisi cet emplacement😎 :
Malgré quelques belles journées, la pluie continue à nous accompagner régulièrement… Cela ne nous empêche pas de profiter de bons petits restos !
La Thrace, derniers arrêts au bout du monde
On prend tranquillement la direction de la Turquie. Ce secteur est vraiment très peu occupé. On se trouve dans la zone du parc national de la Macédoine orientale. Des marais, des flamants roses, des plages désertes accessibles par de petites routes, des pistes, des gués… c’est peut-être vivant en été et en période de récolte du coton… mais en ce moment c’est vide.
Dernière lessive, dernier arrêt à Alexandroupoli avec vue sur l’île de Samothrace enneigée, et nous terminons nos deux mois passés en Grèce…
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😅🤪😱 Anecdote, fun fact 😱🤪😅 : Une vie de chiens !
On l’avait déjà évoqué : en Grèce il y a beaucoup d’animaux errants. Chiens et/ou chats sont présents sur presque tous les spots. On n’a jamais eu autant de compagnons chiens que cette année. Et s’ils sont souvent sans domicile fixe (parfois ils appartiennent à un berger), ils ne sont pas abandonnés pour autant. On trouve parfois des mangeoires installées par les services vétérinaires ou fabriquées par les habitants. Les animaux viennent alors au self quand ils en ont envie.
On a aussi rencontré une meute de 6 ou 7 chiens dans un petits port ; ils n’avaient pas l’air affamés et ne se sont pas venus réclamer. Pire, ils n’ont pas voulu de nos restes 🤔. On a vite compris pourquoi : une voiture est arrivée. Dès qu’ils ont reconnu le bruit du moteur, ils se sont précipités. Un homme est sorti. Il a ouvert sont coffre. Les chiens se sont tous assis sagement en demi cercle autour de lui. Un truc dingue ! Et chacun s’est vu offrir ce qui, de loin, ressemblait à un poulet entier (ou une carcasse ?) en tout cas un gros morceau de viande. Il y avait même du rab pour les plus gourmands !
Dans un autre coin désert, trois chiens se sont précipités vers nous dès que le camping-car s’est arrêté. Le chef du groupe est direct allé se planter devant la soute où sont rangées les croquettes. Est-ce qu’il a un super flair ? Est-ce qu’il sait d’expérience que les croquettes sortent toujours des soutes ??? Regards implorants, battements de cils… évidemment on craque. Et comme il est tout fou et me saute dessus je lui dit sèchement « on se calme ! assis! » et là, morts de rire, on voit les trois chiens s’assoir chacun à distance respectable et attendre en trépignant LA poignée de croquette. Tout ça pour vous dire que les chiens sont habitués à être nourris par tous et acquièrent même parfois une certaine discipline.
Du coup, à part sur certaines routes isolées, on a rarement vu des chiens vraiment faméliques et on n’en a jamais rencontré d’agressifs.
Bref, si tu as une vie de chien, autant que ce soit en Grèce 😉
Petit best of de nos rencontres :
Un petit bilan avant le départ
Ça fait un paquet de fois que nous voyageons à travers la Grèce. Mais cette année c’était différent.
- On n’a jamais vu aussi peu de monde dans les spots. Il faut dire que nous n’étions pas sur le circuit la plus touristique de Grèce, mais quand même 😲
- On n’a jamais vu aussi peu de monde sur les routes. Crise sanitaire? Crise éco ? Flambée du prix du carburant avec la guerre en Ukraine ? On ne sait pas, mais on constate que personne ne se déplace. Les villages sont remplis de voitures stationnées (plus ou moins n’importe comment😅 ), mais on n’a pas connu la circulation avec la densité et les dépassements un peu olé olé des autres années.
- On n’a jamais eu autant de chiens sauvages🐕 avec nous. Mais où sont passés les chats🐈 ??
- On n’a jamais eu aussi froid🥶, ni vu autant de neige.
- On n’a jamais trouvé la Grèce aussi exsangue😥. Est-ce simplement parce que nous sommes plus tôt dans la saison et que les ravalements de façades estivaux n’ont pas commencé ? Peut-être… Mais on a surtout l’impression que la crise éco, plus la crise sanitaire, ça fait un peu trop. Beaucoup de commerces et de restaurants semblent définitivement fermés. Les espaces communs de sont pas entretenus, les bâtiments s’abiment… Les Grecs viennent de finir de rembourser la dette, du coup ça va peut-être pouvoir repartir un peu mieux🤞.
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